Apolline d'Armancourt, simplement_

Supercalifragilisticexpialidocious

BASIC ELEMENTS ARE

d'Armancourt, Apolline

❖ AGE: Vingt et une longues années de galéjades.
❖ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Un certain quatre mai à Versailles, France
❖ NATIONALITÉ: Française
❖ PROFESSION: Partage et prend racine entre deux planches avec des antigones et des candides imbibés d'absurde
❖ ÉTAT CIVIL: Amphibienne mixte...Un cœur à prendre en somme. Mais peu recommandé_
❖ QUARTIER: Bloomsburry

DEVIL IN THE DETAILS

RE A L I T É

ou la conception formaldéhydique de l'incompromis bonheur

Le complexe d’Icare la dynamique de Robin

« le jeune oiseau se laisse tirer deux ou trois fois, mais c’est en vain qu’on tend un filet ou qu’on tire l’arc devant ceux qui ont déjà des plumes. »
Dante « La divine comédie »

Qui a tué le rouge-gorge ?

S’il revient.

Crie comme une truie.

Crie.

CECI N’EST PAS UN JEU
Vole. Et je te plumerai.

Il existe une dynamique dans la mécanique de l’horreur : Offrez-la de priapisme sentimental, et la cécité de l’atone absolu régit, malgré l’abjection omnisciente, puis faites obsession et vérité discrétionnaire tous stéréotypes figuratifs ou de lettres exactes. Et, victorieux, la peau brûlée par l’aubade d’une nuit en enfer, vous exprimerez l’écho du redevable, parce que le cauchemar s’achèvera, un cauchemar qui prendra fin, à fortiori ignominie trop insoutenable pour discréditer l’Assiah du figé humain.
Je ne plaiderai pas redevant. Mes yeux regardent le ciel et me brûlent, arrivée en haut, le Sheol me manque, je crie mais c’est la symphonie d’un ange qui passe et qui résonne. L’agneau mystique que je suis, répudié pour avoir franchi la frontière du jour, a conscience de cette dynamique.
Je n’y obéirai pas.
J’exècre la pitié et n’en laisserai aucune trace. Dédale, malheureuse offrande sous l’ovidienne plume des mauvais jours d’Apollodore, qui psalmodie à l’encontre de l’astre roi les obsèques de son défunt oiseau déplumé, peut-être, sans doute, la pitié ; Dante, austère pédéraste schizoïde pour accabler son purgatoire, lui, peut-être, sans doute aussi, pitié.
Je me couvre éloge parce que j’inspire effroi et admiration, j’évoque, nous invoquons, au demeurant, demeurés immaculés jusque la toute fin de ce voyage vers la lumière-qui-ne-vient-pas-du-ciel, l’épopée parmi les aveugles que je décris ;

« Aveugles, avez-vous peur ? »

Oui.

« Savez-vous quel pis je subis, plus encore que vous tous réunis ? »

Être le seul à voir.
Et puisque l’holocauste de mon cauchemar se défend qu’il prenne fin un jour,
Vous me l’offrirez.

J’ai vu.

Se conformer/Jouer son rôle

La charte de Milgram:

1. L'illusion de l'invulnérabilité

3. La rationalisation

4. La transformation de l'opposant en stéréotype

5. La pression de la conformité

6. L'autocensure

7. L'illusion de l'unanimité

8. Les gardiens de la pensée

Perdre contact avec la réalité

affect abrasé

alogie

perte de la volonté

Délires systémasés chroniques

Diathèse

Ne saurais-je ma culpabilité si sa lassitude n'avait pas entraîné la perte de son sexe ; le mégot de chair piétiné au fond du cendrier. Il l'avait piétiné et embaumé dans le réceptacle de verre. Il s'est calmé, exagéré, sa faute. Trop tard. Rongé par le regret, il tourne, tourne en rond dans le salon_je me caresse l'échine, alerte.

Il le cherchait partout.

Où l'ai-je mis ? Me demande-t-il. Je t'aime que je lui réponds. Fumer tue_grand frère fume=ce cendrier me dégoûte. Je l'ai jeté.

Vide-ordures

Son allure albâtre dévale les marches des bas-fonds. Le temps avait fait profit du gardien qui avait sorti les poubelles, le camion passe, il tourne encore en rond dans le salon, il me pose la question je lui réponds que je l'aime. Je l'ai jeté.

S'il le revoit un jour, il aura été dévoré par la volaille faible et les rats.

L'odeur de son sang est alléchante

Il vole en éclat, sa douleur et le vase de notre tendre mère/la table y passent, mon inertie...Comme déréglé de sa raison. J'ai eu beau dire, j'ai eu beau faire comprendre que nous, femmes, dédions notre vie à notre absence-privation de pénis, je n'ai entendu que son caprice. Il a couru, craché sur moi_mea culpa. Il m'a encore répliqué d'une gifle, je l'ai regardé faire. Je crois qu'il pensait que je l'avais volé ; pour une greffe au nombril en guise de trompe peut-être.

J'ai tenté de le rassurer de mon amour, qu'un sexe de plus ou en moins, ce n'est pas grave : j'avais toujours le mien.

Nous faisions l'amour de temps à autre.

On fera avec.

N'était-ce pas plus raisonnable ?

Et s'il a du mal à s'y faire, eh bien, il fixera le plafond lorsqu'il prendra son bain, et je le ferai pleurer avec le canard en plastique picorant les bulles de savon.

Peut-être que des hommes très virils n'en ont jamais eu ?

Je l'ai vu pleurer sur son sort, peut-être qu'il comptait souffrir pareillement d'insomnie. Il me réveillerait plusieurs fois durant la nuit, je serais fatiguée, irritée, je ne l'aimerais plus.

Il broie du noir

La raison ne suffisait plus. Je l'ai serré fort en attendant que mes yeux s'ouvrent ailleurs. Je l'ai tenu à bout de bras.

J'en ai eu assez. J'ai ainsi décidé que, dès lors qu'il s'était privé de son sexe, je pouvais tout aussi bien lui couper la tête.

Avec une hache.

Fumer tue_grand frère fume=je déteste ce cendrier. Je l'ai jeté.

REAL ELEMENTS ARE

❖ AVATAR: Barbara Palvin
❖ PSEUDONYME: Frankie
❖ PRÉNOM: *regarde derrière elle*
❖ AGE: dix-neuf années
❖ PRÉSENCE SUR LE FORUM: Geek-nolife/10
❖ OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: J'ai connu anonymement ses prédécesseurs~
❖ COMMENTAIRES: J'ai des cookies... Apolline d'Armancourt, simplement_ 475369

Apolline d'Armancourt, simplement_ 475369

Et une écriture farfelue...Mes touches sont tordues c'est sans doute pour cela. Et j'aime les structures qui ressemblent à rien (mais lisibles quand même)...Je veux qu'on m'aime Apolline d'Armancourt, simplement_ 769974

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❖ EXEMPLE DE RP: Un trois fois rien avec une sorte de formulaire imposé...

Spoiler:

-Foutaises.

L’illettrisme et la carence intellectuelle des médias m’effarent plus qu’ils
ne m’exaspèrent. Je n’espérais pas m’amasser de nouveaux
partisans, mais du moins, une lecture. La convocation reçue quelques
jours auparavant m’assomme du contraire. Et, bien plus que la
migraine routinière que m’apporte le regard critique sur les
incrédulités du journal, j’eu particulièrement du mal à
accepter la parution de ma critique, justement, du mois dernier dans
les plèbes vaporeux du quotidien de la ville. Non seulement, il
était lu par de nombreux profanes incultes, mais l’on jugeait
aussi ma prose au rang d’éloge, analysant la moindre parcelle
psychologique de chacun de mes adverbes. Plaît-il ? Ils n’ont
évidemment rien compris. C’est avec tout mon amour propre que j’ai
jeté la paperasse au fond de ma corbeille. Que dis-je, au fond de ma
rancœur.

Citation:

-Allô
?

-...

...Madame ?

-Etait-il aussi annoté
mon statut civil dans la gerbe littéraire où vous m’avez
trouvée, pour qu’il soit question de mariage ?

-…
?...Euh…Pardon.

-…

-Donc euh…Mademoiselle.
C’est moi, Azami. Azami Ryô.

-Donnez-moi une raison de
ne pas raccrocher à l’instant.

- *rire*
Je m’attendais à une réaction de ce type. Aussi, je n’ai
pas publié votre critique par hasard. Preuve en est, j’ai
attisé votre curiosité, et suffisamment que pour m’accorder
un peu d’attention, à l’instant, justement.

-Au
revoir.

-Foutaises.

-*sourire*
Mademoiselle.

Evidemment, j’y suis allée.
Aussi ne me le pardonnerai-je jamais. M’insupporte, surtout et en cet
instant, les chemisiers froissés de cette panoplie de «
presse-boutons ». Mon regard se perd sur le matériel. Et je me dis
assez stupidement, qu’il aurait mieux servi pour un bon film de
Welles Orsen plutôt qu’à ces infamies médiatiques. Leurs tissus
à carreaux m’inspirent le signe d’une intolérable prétention :
celle de protéger de la mort même. Le nouveau parlé consensuel
rural. Rendre l’actualité à la portée des naïfs. La rendre
édulcorée, gâchée de tout son orgueil morbide.
Il y aurait ainsi deux sortes de gens ; les uns, immortels, humanistes,
la médecine et ses artistes, enfin, journalistes ; et les autres,
sous-hommes, les kystes de la société. Encore ne sommes nous qu’aux
« iste ». Les patients chroniques, malades de vocations, d’essence
mortels et ignorants. La médiocrité telle qu’on me la présente,
la pauvre rancœur de cette illusion à l’instant même de son
apparition, me désole déjà. Et pourtant, jaillissant du plus
profond de moi-même, elle envahit tout mon être et colle à ma
conscience, sans que je puisse, sur le moment, me débarrasser de son
envieuse amertume, comme ma main, incapable de se défaire de la
bêtise émergeant du papier écologique causant ma perte dans un
endroit où j’aimerais ne pas être. Laissant aux mains desservies
de l’ignorance l’homme bon, cet imbécile d’Azami Ryô, je m’en
vais requérir l’objet que mes yeux convoitent depuis mon ascension
dans cet immeuble de plexiglas journalistique. Drame en est, que
l’ignorance ne fut pas de même, réciproque.

-Oh je vois. Le matos est impressionnant hein ?

En l’absence de réponse, l’on se contente de rétorquer l’identique
réplique. Mais cet homme est une véritable pénitence de solitude.

-Vous êtes belle, Sara.

J’ai cru bon crisper mes doigts sur la circonférence des lentilles
compactes de l’appareil enregistreur, plutôt que celle de son cou.
Je regrette, d’ailleurs. Oh diable, redevant.

-Maekawa. Et vous, vous êtes laid.

-Merci.

Horrifiée. J’étais horrifiée. Il était tout bonnement impossible, qu’il
ait pu comprendre ainsi mes propos.

-Merci ? -Oui.-Pourquoi
?

Une main suffisante dans le duvet de son crâne mais un sourire gêné, à
la recherche d’une répartie déstabilisante. Il n’a pas compris.
Ç’aurait été trop beau. Prolixe paradoxe.

-Socrate, était laid.

Machinalement, ma main relâche nonchalamment le papier pour satisfaire mes
habitudes, sort du sac le porte-cigarette. Azami est un être risible
d’hilarité. Il me fait littéralement rire.

-Ta laideur, « Socrate », est ton vrai démon. Elle est ta marque, et
ta croix. Elle est tout ton destin. C’est assez provocateur, que se
comparer à un fou cynique tel que Socrate. Vous êtes plus cultivé
que ce que je craignais.

-C’est une bonne chose ?-Non.

J’arpente l’engin d’origine inconnue qui se dresse à mes côtés,
intriguée, peut-être et sans aucun doute, lassée par ce soliloque
présomptueux. Attendre un peu de mon respect était vain, qu’il le
sache.

-J’ai cru savoir que vous adoriez être au premier plan, petite.-Les
bienfaits des tabloïds ont leur part de vérité.-Comme
vos exigences de Diva déjà bien enfant, n’est-ce pas ? « Jolie
Sara » ?-«
Jolie Sara » ? Dans quel déchet pour potins à célébrités
avez-vous trouvé une injure pareille ? -Non
c’est vrai.

Assez. J’en ai assez entendu. Rien ne valait suffisamment ma présence. Je
veux partir. Et je m’exécute.

-C’était « Dolly » pas vrai ?

La brutalité de l’information heurte le carrelage, tombe des nues.
Fier d’avoir gagné la partie, je le sens ramasser avec toute la
galanterie inutile la cigarette qui a récolté l’impacte de ma
fierté froissée. Ne me reste plus que les yeux, pour le toiser,
avec toute la haine que j’éprouve, et pour seul récepteur ses
pupilles. Celles que je vise ne sont plus accessibles.

-Pour votre visage hideux, votre silhouette élancée et vos petites
jambes, Azami, dit Socrate, haïssez-vous le ventre de votre mère ?

__________________________________________________________________________________

Lucille, little bird !

Spotted

*décidemment j'adore ces smileys*

Qui c'est ? Qui c'est ? Qui c'est ? Apolline d'Armancourt, simplement_ 769974

Personne en fait, je ne me suis pas inscrit, mais j'adorais voir ces petites poupées afficher un sourire mauvais.

Ta présentation m'avait marqué, avec le poème aussi, la façon d'ajuster de mettre en ordre (ou en désordre ! Quel incroyable chaos arrangé.)
C'est aussi valable pour ta façon d'écrire : une passion malade, horreur sublime. C'est dingue, j'adore ne rien y comprendre mais le connaître par coeur !

La demoiselle sur ton avatar, c'est qui ? On dirait une poupée.
Belle d'âme.

j'adore ta fiche. on s'y perd avec délice ! bienvenue Apolline d'Armancourt, simplement_ 714882

*fichue connexion qui m'oblige à retaper de mémoire ce que je disais*

J'étais surprise de voir ton commentaire hier, j'avoue que je ne m'y attendais pas. C'est que le hasard fait bien les choses (compte tenu de l'activité du forum, mon thread a probablement très vite fini dans les derniers du lot des nouveautés, et mon sujet n'est sans doute pas celui auquel l'on s'intéresserait en premier - nouvelle, poupée Mattel, on aime ou pas, toussa...). Entre MC et STH il y a un hobby de différence, malgré le fait qu'on y retrouve toutes sortes de personnes dans le premier cité, je ne m'attendais donc pas à tomber sur quelqu'un qui fréquente MC, même passivement, ET qui n'a pas eu le bonheur d'éviter mon topic, sur le forum pré-cité.

Je crois qu'on appelle ça le Mektoub

Je m'attache au bon vouloir des gens, je m'efforce avec plaisir d'en choper quelques personnes à la volée avec les moyens possibles, même maigres. Et c'est toujours un ravissement de voir que certaines prennent le temps de s'arrêter et apprécient mon travail. Et bah, j'aime les mots, aussi.

Mon cerveau se dévide au fil des phrases et des crocodiles pris d'indigestion sentimentale

Et je n'ai pas résisté au charme de Barbara Palvin, jeune modèle un chouilla petite pour voir les portes battantes des très grands (mais à mon sens je la trouve déjà bien grande). J'avais pourtant d'autres personnes en priorité, mais elles étaient déjà prises. Néanmoins Palvin se moule très bien aux formes d'Apolline, je ne demande pas plus~

Et un grand merci à toi également, June, le plaisir m'est exclusif Apolline d'Armancourt, simplement_ 21527

Apolline d'Armancourt, simplement_ 21527

Apolline d'Armancourt, simplement_ 169987

Bonne continuation en tout cas.

(Continue à parler de destin, et c'est son prophète qui frappera à ton coeur. Samuel adore les petites poupées..)

Je reviens du centre-ville et ouvre la page du forum pile quand tu postes ta réponse. Si c'est pas un signe ça hein ? hein ? hein ? Et m'en vais prendre la porte.

Merci bien_

Tant qu'à dériver sur les décousus ~~wyrdiens~~, un peu ex nihilo mais la profession de ton très cher Samuel m'a fait doucement sourire, côtoyant régulièrement des gens de profession...funèbre ? Soit. Ce petit épisode de ma désolante vie n'a aucun intérêt mais cumule mon intérêt pour Samuel - que j'avais de toute façon remarqué d'emblée avec la capture d'écran de l'épique Iron de Woodkid, passé en boucle depuis un certain temps. Et je me suis découvert un certain fétichisme face aux cravates mal fichues, au chemise débraillée et la clope au bec.

Et puis non mais de toute façon j'ai lu ta fiche. Je veux un lien et puis c'est tout.

Je ne suis pas ladre de bons sentiments, Apolline non plus. Ainsi j'écarte grand les bras de ma jolie poupée, elle se laissera volontiers cueillir par les moires de ta volonté toute entière. Á bon entendeur.

*il n'aime pas les petites culottes en dentelles Samuel ?

D'accord, je concède à sortir...*

Je t'envoie un MP ce soir.

-mouiller, les culottes...

samuel veut se taper toutes les nanas du forum ou je suis un brin jalouse ? Apolline d'Armancourt, simplement_ 8686

bande de petits coquins, je vous surveille Apolline d'Armancourt, simplement_ 65172

me le fatigue pas trop, j'en aurais besoin pour plus tard Apolline d'Armancourt, simplement_ 729666

sinon bienvenue, j'adore tout bonnement ton écriture, délicate, bien tournée, mélange inconventionnel de mots, bref j'aime ta façon de jouer avec les formulations, les adjectifs et ta manière de rendre un récit complètement démentiel Apolline d'Armancourt, simplement_ 873244

Apolline d'Armancourt, simplement_ 873244

Apolline d'Armancourt, simplement_ 116664

tu veux qu'on t'aimes ? c'est déjà le cas Apolline d'Armancourt, simplement_ 480484

crie comme une truie, subtile allusion à let the right one in ? Apolline d'Armancourt, simplement_ 769974

si oui, je te vénère.

emma abril mason a écrit:: samuel veut se taper toutes les nanas du forum ou je suis un brin jalouse ? .

Elles me veulent toutes, nuance.
Tu n'as pas à être jalouse avec le RP que l'on fait pousser tous les deux (-et que je peau fine au moment où je t'écris)

Moi je veux juste un petit pot de lait crème...

Nul besoin de veiller au grain Emma, Samuel a les dents douces et moi les bras trop courts pour en attraper les pointes_la vie est bien triste.

Il est venu l'heure de me vénérer, Apolline d'Armancourt, simplement_ 700660

Apolline d'Armancourt, simplement_ 700660

ce qui veut donc dire oui

Je fleuris sous tous vos compliments ma bonne madame, vous avez l'air d'avoir un bien joli clavier à votre disposition pareillement - forum de bien lotis. Et vous, eh bien-> je vous aime_

*dandine des fesses en lançant des patates douces au gré du vent*

Apolline d'Armancourt, simplement_ 606359

mille bienvenus ! Apolline d'Armancourt, simplement_ 762692

Apolline d'Armancourt, simplement_ 555358

je me demande juste, avec un certain embarras, si c'est une fiche finie que nous avons là.
j'ai cela dit commencé à la lire, et bon dieu, j'adore atrocement !
Sur ce, je m'en vais te réserver la belle Barbara, qui soit dit en passant, porte très bien le prénom Apolline. Apolline d'Armancourt, simplement_ 762692

Merci bien pour ce petit commentaire qui me fait bien plaisir~
Et il n'y a pas de mal à poser la question, le résultat de ma fiche peut prêter à confusion. Elle n'est effectivement pas finie, pour les derniers ajouts minimes à faire je pense qu'on y verra tout de même pas non plus la fin, mais je l'énoncerai en toute lettre pour qu'on se le dise bien.
Pour ce qu'il en reste je tenterai d'en finir pour cette fin de semaine. Encore merci Apolline d'Armancourt, simplement_ 555358

Edit : et merci pour ce petit réglage d'avatar Apolline d'Armancourt, simplement_ 709890

tout en poésie et en finesse, bon dieu que j'adore ça.
inutile de préciser alors que j'exige un lien Apolline d'Armancourt, simplement_ 353474

et que si tu me sors encore des références comme celles ci, tu pourras dandiner des fesses autant que tu le voudras, je te fournirais en patates douces Apolline d'Armancourt, simplement_ 769974

Non je ne dors presque jamais

grand plaisir

références

je ne résiste pas aux patates douces

(comme quoi mes overdoses de patates auront bien été à bout de mes irréguliers neurones)

Vite vite la fin de cette fiche que je me saoule de tout votre amour

pour ce qui est de te faire aimer, le pari est réussi. Apolline d'Armancourt, simplement_ 555358

j'ai pris presque autant de plaisir à regarder ta fiche qu'à la lire; comme june l'a dit, on s'y perd avec délice. (a) bienvenue. Apolline d'Armancourt, simplement_ 1565185194

Apolline d'Armancourt, simplement_ 1565185194

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