STAIRWAY TO HEAVEN
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Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars.

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October Rosenbach
October Rosenbach
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MessageSujet: Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. EmptyLun 25 Juil - 9:39

Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Tumblr_loqqbnTH3h1ql8wit

Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes.

    A bout de souffle, je m'effondre sur le sol. Quelques gouttes de pluies glissent le long de mon visage, j'ouvre les yeux, il fait nuit, pas un lampadaire allumé, seule la lune me sert de repère. Je soulève ma tête, mes yeux épiaient, mon regard cherche et s'arrête devant un bâtiment, je connais cet endroit, je me suis déjà retrouvée devant ce lieu. Cathédrale Saint-Patrick de Dublin, en l'espace de quelques secondes, me revoilà debout. Que fais-je en Irlande? Comment ai-je atterri ici? Mes souvenirs sont troubles, j'ai la tête endolorie. Un tour sur moi-même, je recherche de l'aide, personne. Je crie au secours, en vain, je suis seule, comme toujours. Je me retourne vers la cathédrale, cette cathédrale où j'allais quand j'étais petite, cette cathédrale où je me priais pour que mon père arrête tous ses gestes malsains envers moi, cette cathédrale où j'ai supplié le pardon une fois que j'avais commis l'irréparable. Je fixai la lune, elle semblait éclairer seulement cette cathédrale, un halo de lumière entouré la bâtisse. Mon regard se retourne vers la cathédrale; j'ai envie de rentrer, mais mes pieds refusent d'avancer. Je lève les yeux au ciel, la pluie fraîche vient mouiller mon visage. Je ferme mes paupières, et me répète plusieurs fois dans ma tête, si c'est un rêve, réveille-toi! Je reste quelques minutes les yeux fermés, lorsque je les rouvre, je suis toujours en Irlande, à Dublin, face à cette foutue cathédrale. Je me mets à courir aussi vite que je le peux, aussi loin que je le peux, aussi longtemps que je le peux. A bout de souffle, je m'effondre sur le sol. Je lève les yeux et découvre avec horreur que je suis toujours au même endroit, c'est un foutu cul de sac! Je pleure, je rigole, je ne sais quoi penser. Je crie comme je n'ai jamais crié, mais personne ne semble répondre à mon appel. C'est vide. Je m'allonge sur le goudron mouillé, j'aime cette odeur. Je ferme de nouveau les yeux et prie pour sortir de ce mauvais rêve, mais rien n'y fait, j'étais toujours là. Est-ce un rêve? Toujours les yeux fermés, j'entendis maintenant des pas, des rires, des mots tout autour de moi. La place vide est maintenant remplie de monde, allongée, les gens n'ont pas l'air de se soucier de moi, j'essaie de me lever, on me bouscule, mon visage heurte violemment le sol, du sang coule sur mon front. Toujours étendue sur le goudron, j'appelle au secours, aucune réponse, j'agrippe la jambe du premier venu, mais il passe son chemin. Suis-je invisible? Les gens marchent de plus en plus vite, où vont-ils? Pour ne pas me faire écraser, je trouve le courage de me relever, de nouveau, j'essaie de demander de l'aide, j'attrape quelqu'un par le bras, en vain. Les gens se mettent à courir, et à travers les rires, les paroles de ces personnes, j'entendis un chuchotement tout près de mon oreille « meurtrière ». Qui a prononcé ces mots? Je regarde tout autour de moi, les gens vont trop vite. La même voix répète « meurtrière », mais de nouveau, je ne vis personne près de moi. J'use de mes dernières forces pour me réfugier dans cette cathédrale. La folie qui agitait toute cette foule semble loin dans cette cathédrale si calme. J'avance tout doucement et m'assieds sur un banc. Une goutte de sang tomba sur ma main, et merde mon front saigne toujours dis-je d'une voix basse. Je presse avec mon T-shirt mon front. Tout est calme, tout est silencieux, rien n'a l'air de pouvoir perturber cette soudaine paix. Cependant, après quelques minutes de silences, j'entends des pas derrière moi, qui est-ce? Je n'ose me retourner. Les pas se rapprochent, mon cour s'accélère. Je repense à cette voix dans la foule « meurtrière », et si c'était elle? Puis, plus aucun son de pas, seulement un souffle. Je me retourne, Leann. Tout devient confus, Leann, en Irlande? On se fixe quelques secondes puis, je prends la parole:« que fais-tu ici? Si j'étais toi, je partirai! »
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Leann McBooth
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MessageSujet: Re: Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. EmptyMar 26 Juil - 8:56

Je marchai. Il y avait une route assez étroite et bondé de cailloux. Je ne sais pas vraiment où elle menait mais je marchai sans trop me soucier de la direction que je prenais. Là n’était pas le plus important. L’important était l’arrivée, la fin de ce chemin. Je ne savais pas non plus pourquoi c’était le plus important, mais je le savais, c’est tout. Un petit vent souffla. Il fallait que cela s’arrête. Je commençai à avoir froid. Un long soupir sortit de mes narines et le vent glacé n’arrêtait toujours pas de souffler sur ma peau nue. Ma robe était déchirée. Mes sourcils se froncèrent brusquement alors que je me demandais d’où venait cette robe. Je ne l’avais jamais vu. Comment était-elle arrivée là ? Encore un mystère que je ne savais pas résoudre. L’impatience commençait à me gagner et mes pieds me faisaient mal. Je marchai sur des cailloux avec mes pieds nus, pourtant ma peau ne saignait pas. J’avais juste mal. C’était tellement long, je n’arriverai jamais au bout, cela devenait une évidence. Un petit bruit se fit entendre et je me tournai rapidement pour voir d’où cela provenait. Oh. J’étais dans une forêt. Le décor avait changé et le paysage si vide auparavant était maintenant bien garni. Il y avait des arbres tous aussi grand les uns que les autres, tout autour de moi. Un sourire s’afficha sur mes lèvres rosé par le rouge à lèvres. Je reprends ma marche avec la ferme intention de sortir de cette forêt. Je ne sais pas pourquoi mais elle ne m’inspire pas confiance alors je veux la quitter au plus vite. Un bruit de pleurs me parvint mais je ne sais pas d’où il vient. C’est sûrement les pleurs d’un animal blessé ! Je veux le soigner mais je n’arrive pas à le trouver et cela me rend anxieuse. Pauvre bête, il souffre et je ne peux rien faire. Je ne l’entends plus à présent alors ce n’est plus la peine de chercher. J’arrive enfin à trouver une sortie, elle est proche. Je vois de la lumière quelques mètres plus loin, et un bâtiment se dresse devant moi. Je ne suis plus loin de la sortie, vite ! A nouveau, je me remets à courir, je ne veux vraiment pas rester dans cette forêt. C’est bon ! J’y suis. Je lève les yeux pour découvrir le bâtiment devant moi. En réalité, c’est une cathédrale. Je l’observe quelques instants. Elle est tellement grande, tellement belle. Cet endroit me plaît bien, je vais le visiter. Je me rends alors à l’autre bout de la cathédrale pour trouver la porte d’entrée. Cette ville semble bien calme. On croirait qu’il n’y a personne. Mais une ville sans habitants n’est plus une ville non ? J’hausse les épaules et pénètre dans la bâtisse. Il y a une jeune fille au loin, une brune. Elle est de dos alors je ne la vois pas très bien, mais sa carrure ressemble à celle d’October. Un sourire s’affiche à nouveau sur mes lèvres. Je marche en direction de la jeune femme. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie d’aller lui parler. Mais je ne sais pas non plus quoi lui dire. Mon regard se pose sur le plafond alors que je continue de marcher. Cet endroit est vraiment très joli. Je me dis que j’aimerais bien y vivre. Alors que je me rapproche encore de la jeune femme, elle se retourne. C’est elle. Ma bouche s’entrouvre alors que je veux dire quelque chose mais je la referme, perturbée par ce que je viens de voir. Elle saigne. Mais pourquoi ? Et puis, qu’est-ce qu’elle fait là ? Je n’ai pas le temps de lui demander quoique ce soit, c’est elle qui prend la parole. « Que fais-tu ici ? Si j'étais toi, je partirai ! » Je lâche un petit rire devant la remarque de mon amie. Elle est étrange, mais je commence à m’y habituer. Son aspect est assez effrayant, mais je n’ai pas peur. Du moins, pour le moment. Je lui adresse un sourire et dépose un doigt sur sa blessure que je fixe quelques instants. Enfin, mon regard se plante à nouveau dans le sien. « Tu es blessé. » Ma remarque ne sert pas à grand-chose et j’en ai conscience, mais ce n’est pas grave. Il fallait que je le dise. Je me recule. Je pousse alors un soupir, réalisant que je dois répondre à sa question. J’hausse alors les épaules. « Oh. Rien. Je me promène. » J’hoche la tête comme pour me le confirmer à moi-même. Je quitte mon amie des yeux quelques secondes, j’ai cru entendre un bruit dans le fond de la cathédrale. Il y a quelques d’autres ? Ah non. Alors que je repose les yeux sur October, son visage a changé. On dirait qu’elle va m’attaquer. Je me recule encore, plus brusquement cette fois. « Hé ?! Qu’est-ce qui t’arrives ? » Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que c’était bien elle que j’ai vu quelques secondes plus tôt ? Mais oui, bien sûr, qui d’autre ? J’ai envie de partir en courant, mais tout de même, c’est October, il n’y a pas de raison pour que j’ai peur d’elle.
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MessageSujet: Re: Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. EmptyDim 21 Aoû - 1:38

Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Tumblr_lq1gf5uPrp1qmpup2

Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes.

    La tête dans le coton, les muscles endoloris, je voulais partir, courir, m'enfuir, mais je demeurai là, dans cette église, apeurée, effrayée. Je sais que je rêve, mais tout a l'air si réel...Et si ça l'était? Rêve, réalité? Comment démêler du faux du vrai? J'ai froid, il fait noir, je veux hurler mais rien ne sort de ma bouche. Aucun son, juste mon souffle et ce chuchotement incessant: Meurtrière. Je deviens folle, je suis folle, j'ai toujours été folle. Je suis le fruit de la folie pure, une dingue dans un monde de fou. Que dois-je faire? Me réveiller? Attendre? Je ferme les yeux, je les réouvre, toujours au même endroit, toujours seule dans cette cathédrale avec ce maudit chuchotement! Après la peur, la rage arrive en moi, je veux partir, je veux me réveiller, mais rien, je suis toujours là, la colère me ronge. Mon souffle devint fort, mais très vite un autre souffle se mêla au mien. Dois-je me méfier? Je me retourne, c'est Leann. Devrais-je être rassurée? Impossible de trouver mon calme. Je me connais, je connais mes facettes! J'ai plusieurs visages, et celui que je porte à ce moment-là est mauvais, il m'effraie et est capable des pires atrocités. Je demande à Leann de partir, je ne veux pas lui faire mal, je ne veux pas qu'elle me voit autrement que sa gentille colocataire. Mais Leann n'écouta pas mes paroles, elle resta à mes côtés. Elle remarque que je suis blessée et me dit qu'elle est là parce qu'elle se promène. Puis elle me demande ce qu'il m'arrive. Mais à quoi joue-t-elle? La rage en moi devint plus grande. Je n'ai pas besoin de son aide, je veux juste me réveiller.

    Tu es là pour te promener? dis-je d'un ton menaçant! Ici, tu te promènes là? Au même endroit où je suis! Tu me surveilles? Tu cherches quoi? Tu veux quoi? De plus en plus énervée, je m'approchai vers elle et l'attrapai par les épaules. Je t'ai demandé de partir! Tu comprends? Ne reste pas là! Pars! Je n'ai pas besoin de ta foutue aide! Violemment je la poussai, et elle tomba sur le sol. Je la regardai toujours l'air menaçant. Alors, tu veux toujours m'aider?Je me baissai pour me retrouver à son niveau. Méfie-toi de moi! Je pourrai te faire du mal, tu pourrais subir les pires atrocités! Je pris son visage entre les mains. Ce n'est pas ce que tu veux quand-même?
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MessageSujet: Re: Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. EmptyLun 22 Aoû - 22:12

Cette cathédrale est agréable et j’aimerai bien y rester un petit moment pour en admirer tous les recoins, mais j’ai l’impression que je n’en aurais pas l’occasion. Je pousse un bref soupir. Il fait ni trop chaud, ni trop froid dans ce lieu, je m’y plais.

Je ne comprends pas le comportement d’October. Elle est mon amie mais elle parait ici si différente. Son visage est noirci par la colère, dont la raison m’est inconnue. J’ai envie de l’aider mais je ne sais pas comment faire. Est-ce que c’est après moi qu’elle en a ? Je n’en sais rien. Mais elle commence réellement à me faire peur. Et si ce n’était pas réellement mon amie que je vois là ? Mais quelqu’un qui lui ressemble ou qui se fait passer pour elle. D’ailleurs, pourquoi October serait dans une église ? Et où sommes-nous ? Je ne sais toujours pas de quel manière je me suis retrouvée dans cet endroit mais je commence à croire qu’on m’y a emmené pour de mauvaises raisons. Comme pour me faire du mal. « Tu es là pour te promener ? » Son ton est menaçant, effrayant. Je suis persuadée à présent que ce n’est pas elle et pourtant je suis loin de la vérité. Je tente de reculer encore mais elle se rapproche dangereusement de moi. Je me contente d’hocher la tête positivement et de manière assez timide, apeurée. Je veux fuir mais la sortie me semble bien trop loin, elle aurait vite fait de me rattraper. « Ici, tu te promènes là ? Au même endroit où je suis ! Tu me surveilles ? Tu cherches quoi ? Tu veux quoi ? » Je n’ai pas le temps de faire quoique ce soit, qu’elle m’agrippe par les épaules. Elle est complètement folle. Je veux répliquer, lui dire que je ne la suis pas, que je ne savais même pas qu’elle était là mais j’ai peur que mes paroles accentue sa colère. J’ai l’impression que je ne peux rien faire pour réussir à la calmer à présent, juste garder mon silence, peut-être. J’aurais mieux fait d’écouter son conseil et de partir mais c’est trop tard maintenant. « Je t'ai demandé de partir ! Tu comprends ? Ne reste pas là ! Pars ! Je n'ai pas besoin de ta foutue aide ! » J’aimerais bien partir mais je ne le peux plus maintenant qu’elle me tient toujours par les épaules. Je voulais tenter de me dégager mais voilà qu’elle me pousse violemment au sol. Je percute le sol dur brutalement et soudainement, tous mon corps me fait souffrir. J’espère que je ne me suis pas cassé quelque chose mais je le crains. J’ai tellement mal. « Alors, tu veux toujours m'aider ? » Elle s’abaisse à mon niveau et se rapproche à nouveau de moi. J’ai l’impression qu’elle va abuser de moi. Non, ce n’est pas possible. Mon corps tremble de tout ses membres tellement la peur y est présente. « Méfie-toi de moi ! Je pourrai te faire du mal, tu pourrais subir les pires atrocités ! » Les larmes commencent à couler sur mes joues alors qu’elle saisit mon visage entre ses mains. J’ai envie de répliquer mais je ne m’en sens pas la force. « Ce n'est pas ce que tu veux quand-même ? » J’hoche la tête négativement avec frénésie et je tente de la supplier, entre plusieurs sanglots : « Non, s’il te plait October, ne me fais pas de mal… Je suis ton amie, tu te souviens ? »
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MessageSujet: Re: Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Empty

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